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suite à propos du secteur de Saint-Pierreville

20 Novembre 2010, 22:14pm

Publié par opus.andrei.over-blog.com

Près de St Pierreville, en Ardèche, février 1972. Un OVNI est observé, il s'agit d'une boule lumineuse. Mais cette fois, il y a des temoins notables. Un compte rendu de l'observation est établi. Ce rapport indique que le phenomène en question n’est pas nouveau, mais quasiment régulièrement observé depuis au moins 2 siècles. Au cours d'une enquête des photos en infra-rouge sont prises et révèlent des traces insolites sur des lieux au passé tout aussi étrange. Ce secteur fut sans doute témoin, il ya des millénaires d'événements qui nous dépassent encore. Il y serait question de 'couloirs du temps' où de 'fractures vers d'autres dimensions' ... L'étrange boule de Feouzets est alors une pièce importante à verser dans les dossiers « OVNI ».
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L’ETRANGE BOULE DE FEOUZETS 
PRES DE ST PIERREVILLE 

le remarquable livre sur l'énigme de St Pierreville, d'André Jean Balbi

2 heures du matin, 14 février 1972. Canton de St Pierreville, Ardèche. Ciel couvert, temps froid, il neige faiblement.
Sur la Départementale 211 un véhicule descend lentement sur le village. A hauteur du hameau de Féouzets (qui se trouve en contre bas de la route), les 2 passagers distinguant un phénomène lumineux, s’arrêtent intrigués. Il s’agit d’une sorte de boule luminescente de couleur bleue électrique au centre et irradiant à l’orange sur sa périphérie. L’objet semble « planer » ou dériver doucement. Il s’arrête puis se dirige résolument vers les deux personnes qui, prises de peur (on le serait à moins…) s’enfuient vers leur véhicule. Ils roulent un peu. A l’abri d’un bosquet, pourtant, les deux témoins s’arrêtent de nouveau et observent encore. Plus loin la sphère, de retour vers la vallée, semble « quadriller » minutieusement un périmètre strictement défini. Il y aura un autre témoin de ce spectacle qui durera quasiment une paire d’heures: l’adjoint de mairie que les deux observateurs viennent de réveiller… Une enquête sera ouverte et des rapports établis, d’autres témoins parleront. Il ne s’agissait pas d’un canular.

Avec le recul du temps, et les craintes apaisées, il semblerait que cette « boule de lumière » se soit approchée de plusieurs hameaux autour de St Pierreville durant toute cette nuit du 14 février 1972. Les lieux survolés, avec insistance, par l’étrange objet méritaient toute notre attention et c’est plusieurs années après, qu’un résultat d’enquête plus globale, moins ‘passionné’, peut commencer à se dessiner.
Il s’avère, en vérité, que ce phénomène sphérique soit un « vieil habitué » des lieux. Depuis des décennies, pour ne pas dire plus, il avait eu son lot de témoins ne souhaitant pas faire de déclaration aux autorités et encore moins aux médias. Pourtant cette dernière nuit ces mêmes médias furent à propos et l’information se répandit très vite jusqu’aux journaux des villes telles que Lyon (LE PROGRES). Les enquêteurs s’aperçurent que cette affaire touchait aussi des touristes qui, plusieurs années auparavant, ayant été surpris par la « boule » avaient immédiatement quitté, affolés, le secteur de leurs vacances. Tous supposant être seul à avoir « vu », craignant alors d’être catalogués de farceurs, avaient prudemment choisi de taire leur aventure. Le bruit médiatique les incita, à retardement, à oser apporter leurs témoignages.
De tous les rapports il ressort généralement une sorte de « curiosité obstinée » de l’étrange visiteuse en boule semblant à tout prix vouloir, sans agressivité, observer.
Les habitants des hameaux alentours peu à peu aussi commençaient à avouer une habitude, craintive cependant, du phénomène et cela de jour comme de nuit se répétant depuis 1803… comme le témoigne un carnet de compte sur lequel son propriétaire brièvement consigne, plusieurs fois, (aucun avion ni ballon sonde n’existent alors !) ce qu’il a vu. Tous font état uniquement d’une boule, plus ou moins grosse selon la distance d’observation : d’environ 50 cm. Jusqu’à près de 2 m pour les plus rapprochées (ayant eu lieu presque à « toucher »). Seulement dans ces 2 cas, à notre connaissance, les témoins expliquaient avoir ressenti comme un « pétillement lumineux ». De l’avis général aucune odeur, jamais de bruits sauf pour les « pétillements » de près. Pas de système d’échappement ou propulsif (tuyère ou autres), non plus de protubérances quelconques ou sorte de « hublots ».

en haut cliché en couleur du lieu de la boule de feu et dessous meme lieu à l'infra-rouge
idem autre angle cliché IR en bas et couleur en haut

Un autre détail répétitif revient souvent : la boule « s’éteint » brusquement instantanément, disparaît, et réapparaît de nouveau « éclairée » plusieurs centaines de mètres plus loin.

l'un des témoins à l'infra-rouge

A ce propos notons l’observation intéressante de l’un des témoins en 1973. Monsieur M.L. se trouve au-dessus de Féouzets vers 18h en automne. Il vient d’avoir une crevaison. Pour des raisons professionnelles il dispose dans son véhicule d’un projecteur portatif très puissant (plus de 500m) qu’il utilise pour éclairer son changement de pneu. Relevant machinalement la tête il distingue en surplomb la sphère luminescente. Il n’estimera pas la distance mais il donnera comme comparaison « un énorme ballon de plage ». A cet instant il n’a pas encore peur, il est plutôt surpris, il ne comprend pas et tout se déroule en un dizaine de secondes, pas plus. Saisissant sa torche surpuissante il donne l’éclairage maximum et éclaire la sphère. Il déclarera « le faisceau de lumière de ma lampe a atteint l’objet car tout autour était dans la clarté normale et je pouvais distinguer les buissons et poteaux de clôtures. Pourtant je voyais bien que la boule n’était pas « touchée » par ma lumière et qu’au contraire elle semblait s’assombrir, se ternir considérablement durant tout le temps du balayage de mon projecteur. Mais en quelques secondes ma batterie de baladeuse fut vidée, je n’avais plus qu’une pâle lueur de disponible…» Il nous confia avoir eu la sensation que son faisceau d’éclairage était « aspiré » par la boule qui, une fois la source de lumière épuisée, s’était mise en mouvement vers lui à faible vitesse quasiment au ras du sol. Il ressentit simultanément une « vive chaleur et un froid immense » et sa montre le brûla à son poignet. Terrorisé, il sauta dans sa voiture laissant sur place cric et manivelle, s’enfuyant avec sa roue à plat jusqu’à ce qu’il n’ait plus la sphère dans son rétroviseur. Il nous confia qu’à son arrivée chez lui il ne put jamais recharger l’accus de son éclairage… dont, très vite, il se débarrassa, ainsi que de sa montre arrêtée. Il refusera catégoriquement, vis à vis de son employeur, dorénavant de servir professionnellement ce secteur où il avouait avoir eu la plus intense peur de sa vie.
La boule a été encore vu dernièrement par plusieurs témoins le 19 décembre 2000.

l'un des visages de pierre sur les lieux de la viste de la boule

Si l’on observe à présent l’environnement topographique du phénomène nous trouvons un nombre impressionnant de lieux mégalithiques non répertoriés sauf un, peut-être, par le docteur Francus. C’est ici un foisonnement de pierres à cupules, murailles, empilements rocheux, menhirs… dont les orientations générales s’axeraient au Sud-Est. Les gravures sur certaines de ces pierres, parfois distantes de plusieurs km, ont souvent les mêmes représentations: cercles d’une seule dimension, triangles et rouelles, des gravures indéchiffrables. Deux ensembles rocheux représentent minutieusement des visages gigantesques, sans oreilles à sommité ogivale identiques à celles du Pilat (Pierre qui chante et menhir du Flat). Enfin sur une surface plane rocheuse quelques cupules précises et très nettes représentent d’une part la constellation d’Orion (à une étoile près !), et d’autre part une série de cupules identiques (encore à une près) à celles gravées sur une des gigantesques statues de l’Ile de Pâques… Hasard ? pourquoi pas. Pourtant un tel hasard reparti sur un seul groupe de 13 cupules régulières laisse bien peu d’espoir de probabilité aux scientifiques! De plus ces endroits se trouvent d’après l’étude, on ne peut plus sérieuse, des professeurs Monteire et Facetat (1928 et 1932), sur un antique chemin de transhumance lui-même superposé en plusieurs endroits à de petits gisements d’uranium natif inexploitables, car trop insignifiants, mais réagissant toutefois aux systèmes de détections habituels de ce minerai précieux en certains cas… mais il serait exagéré, sans doute, d’avancer que les bergers d’il y a 2000 ans aient pratiqué avec l’élevage ovin … la prospection de l’uranium pour arrondir leur revenu!

un autre visage sur les mêmes lieux

Pourtant dans ce secteur on retrouve, en plus des gisements trop pauvres, plusieurs amoncellements artificiels de ce minerai le long de la voie de transhumance antique. On retiendra aussi plusieurs morceaux, découverts sur ces mêmes sites, d’un métal analysé ainsi : alliage d’aluminium, zinc, magnésium, cuivre, fer et silice (en traces). Cet alliage semble souvent utilisé (d’après L.D.L.N.) en métallurgie aérienne… Jusque là rien d’extraordinaire, mais l’affaire se complique si l’on observe dans ce métal (alliage) des incrustations fossilisées datant de millions d’années… anachronique imbrication minérale, erreur de la nature ou explication qui nous échappe encore ? Un dernier détail: la boule lumineuse survolait plusieurs fois, encore près de Féouzets, des ruines très anciennes au lieudit « Serre de Meau ». Or, dans ce secteur furent retrouvés, en 1845, plusieurs puits funéraires de l’âge du bronze . Quelques êtres humains y furent découverts presque intacts en position fœtale avec dans la bouche un morceau de ce précieux minerai. Deux têtes remontées du site sont encore, avec les objets funéraires trouvés sur place, dans une collection de la région de Carpentras. On y retrouva aussi une petite cache d’armes blanches des 12 et 13ème siècles, et surtout plusieurs « objets constitués d’éléments inoxydés encore mobiles » (dans la même collection) ensevelis avec les restes funéraires. Mais ceci est peut-être une autre histoire ?

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