Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

la terre creuse

29 Janvier 2017, 07:16am

Publié par opus.andrei.over-blog.com

https://fargin.wordpress.com/…/le-mythe-des-mondes-souterr…/

https://fargin.wordpress.com/…/la-quete-de-l%e2%80%99immor…/
http://www.ufologie-paranormal.org/t14830-l-agartha-et-les-…

https://fr.wikipedia.org/w…/Th%C3%A9ories_de_la_Terre_creuse

La Théorie de la Terre Creuse

 

La terre serait-elle creuse ?
Beaucoup de religions et de cultures parlent d’« autres mondes », souvent terres des morts ou lieux de punition, comme les Enfers d’Hadès, se trouvant sous terre ou à l'intérieur du globe. L’une des premières théories « scientifiques » sur la Terre creuse a été avancée en 1692 par Edmund Halley, astronome royal. Celui-ci avait tenté d’expliquer les relevés anormaux de la boussole et les mystères de l’aurore boréale en suggérant que la Terre était composée d’une série d’enveloppes concentriques, dont la plus extérieure avait une épaisseur d’environ 800 km. Des gaz lumineux séparaient les sphères intérieures et s’échappaient parfois dans les régions polaires.
John Cleves Symmes et la grande expédition américaine

D’après un article de Jean Brun de l’hebdomadaire Nostra du n° 425 de la semaine du 29 Juin au 4 Juillet 1980 :

« Byrd, accompagné d’un capitaine de vaisseau et de deux quartiers-maîtres, marchaient depuis des heures sur la banquise, escaladant les moutonnements chaotiques des glaces éternelles, dévalant de dangereux à-pics plus périlleux qu’un rocher vertical. Et soudain, du haut de la falaise blanche où l’expédition était parvenue au prix de mille dangers, ils découvrirent un spectacle inoubliable. Sous leurs yeux médusés s’étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d’une végétation luxuriante et apparemment baignée d’un chaud soleil permanent. Une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace.

D’un geste machinal, Richard Byrd consulta son thermomètre: – 58°! Son adjoint, le capitaine Fitin, nota sur le journal de marche: » Le 14 Juin 1926 à 74 m d’altitude à 12h 08 «. Les Quatre hommes se mirent à dérouler les échelles de corde pour rejoindre la merveilleuse prairie qui s’étendait à une centaine de mètres en contrebas au pied de la muraille de glace au sommet de laquelle ils se trouvaient.
Après une longue heure de descente, ils avaient changé de monde : une plaine où régnait une végétation prolifique et presque paradisiaque s’étalait devant eux. La chaleur douce et pénétrante (le thermomètre indiquait 19°8) les obligea à quitter leurs équipements d’explorateurs polaires. Sous leurs pieds, ils foulaient une herbe drue et grasse. A perte de vue, en croyant à peine leurs yeux, Byrd et ses compagnons apercevaient des petits ruisseaux coupant les herbages naturels, des lacs, des collines boisées. A 1500 m environ, ils virent une tache brune qui se déplaçait lentement. Jumelles braquées, Richard Byrd observa un animal massif au pelage brun qui entra dans un fourré. Un animal qui ressemblait étrangement à un mammouth.

Hélas! Il fallait borner là, l’exploration de ce jour. La fatigue de chacun, le manque de vivres, l’épuisement des accumulateurs de radios faisaient un devoir au chef du détachement d’ordonner sans perdre un instant le retour au campement de base.
Après avoir repris quelques forces et renouvelé leurs équipements, Byrd et ses compagnons prirent (à nouveau) la route pour tenter de retrouver ce qu’ils appelaient entre eux le « paradis perdu ». Malheureusement, il leur fut impossible de retrouver la vallée. Située pratiquement à quelques kilomètres du pôle géographique, il avait été impossible au capitaine Fitin d’en effectuer le relevé des coordonnées topographiques. Sous leurs yeux médusés s’étendait une longue vallée étroite et profonde couverte d’une végétation luxuriante et apparemment baignée d’un chaud soleil permanent, une véritable oasis de vie au milieu du grand désert de glace. »

Cette histoire rappelle la fameuse légende Tibétaine de L’Agharta, Agarttha ou Agarthi. Elle parle d’un royaume souterrain paradisiaque, relié aux quatre coins du monde par un réseau de galeries gigantesque. La légende raconte que ce monde idéal serait en possession de connaissances technologiques secrètes qui nous dépassent, et de pouvoirs extraordinaires susceptibles de sauver un jour l’humanité. Ce lieu serait dirigé par le « Roi du monde », l’homme le plus puissant et sage qui soit, depuis sa splendide cité de Shamballah.

Quelques sites traitant également du sujet
http://theudericus.free.fr/Uf…/Terre_Creuse/Terre_Creuse.htm
http://www.the-savoisien.com/wawa-conspi/viewtopic.php…

La fièvre de la Terre creuse est réellement montée au XIXe siècle de par les efforts de John Cleves Symmes Jr.
Celui-ci avait formulé une théorie similaire à celle d’Edmund Halley, prônant que l’équilibre naturel entre gravité et forces centrifuges produisait une sphère tournante se séparant en plusieurs sphères concentriques. Selon Symmes, de grandes entrées devraient exister aux pôles, conduisant à l’intérieur de la Terre, sphère probablement habitable. Il affirmait qu’une expédition polaire arriverait à prouver ces suppositions. En 1818, dans une lettre ayant beaucoup circulé, Symmes annonçait :

« AU MONDE ENTIER ! J’affirme que la Terre est creuse et son intérieur, habitable. Elle comporte un certain nombre de sphères concentriques solides, l’une dans l’autre, présentant des ouvertures de 12 ou de 16 degrés aux pôles. Je suis absolument certain de cette vérité et je suis prêt à explorer ce creux si le monde me soutient et m’aide à le faire. »

Symmes a passé la plupart des onze dernières années de sa vie à donner des conférences pour trouver des appuis pour l’expédition envisagée. Bien qu’il n’ait jamais écrit de livre sur le sujet (du moins pas sous son propre nom), plusieurs de ses sympathisants l’ont fait. Finalement, leurs efforts allaient porter leurs fruits - ils ont été en partie responsables du lancement de la grande expédition américaine d’exploration des années 1838 à 1842, équivalente au voyage du Beugle ou aux voyages du capitaine Cook. Bien que cette expédition ne fut pas censée chercher une entrée vers la Terre creuse, elle a visité le pôle Sud.

Développement ultérieur de la théorie de la Terre creuse
Les traitements romanesque et réel de ces théories ont gardé leur popularité même après que des explorateurs eurent atteint les pôles et prouvé qu’il n’y avait là aucune entrée menant à l’intérieur de la Terre.

Un physicien américain non conformiste, Cyrus Teed, avait formulé une théorie selon laquelle la surface de la Terre se trouvait en fait à l’intérieur d’une sphère où la matière était maintenue par la force centrifuge. Les étoiles et le reste de l’univers sont une illusion créée par les effets d’un gigantesque soleil à piles, situé au centre. Ces idées excentriques de Teed étaient à la base d’une religion et d’un mode de vie alternatifs, kareshanity, qui n’ont pas subsisté longtemps après sa mort (pas plus que lui, même si ses adeptes ont placé son corps dans une baignoire et attendu qu’il se réincarne).

Selon certains, le savant allemand Heinz Fischer, adepte de cette théorie, avait convaincu les nazis d’organiser une expédition sur le littoral baltique, afin qu'il puisse diriger son télescope à la verticale et espionner la flotte britannique a travers la mer du Nord, L’expédition s’avéra un échec, que Fischer paya de sa vie.

Les récits de Richard Shaver ont été encore plus saisissants. Présentés comme une fiction dans le magazine de science-fiction Amazing Slories, ils racontent l’histoire de visiteurs extraterrestres s’installant dans la Terre creuse il y a plusieurs milliers d'années, et de leurs descendants dangereux, les Deros, rôdant encore sous nos pieds, lançant des attaques télépathiques malfaisantes contre les habitants de la surface et les kidnappant parfois à des fins innommables. Beaucoup de lecteurs avaient pris ces récits pour des faits réels.

Comment aurait été la vie dans la Terre creuse ?
La plupart des théories de la Terre creuse avancent, l’existence d’un type quelconque de, source lumineuse favorisant, la vie, dépourvue cependant d’aube et de crépuscule.
Les concepts de temps sont déformés, les visiteurs humains souffrent de privation de sommeil et de problèmes mentaux similaires à ceux des habitants du cercle polaire arctique pendant l’été polaire (en pire).

En même temps, les physiciens expliquent qu’une Terre creuse serait pratiquement sans gravité, alors que les forces centrifuges chères aux partisans de cette théorie seraient, à leur point culminant (à l’équateur).

La légende d'Agartha
Agartha (nom à l’orthographe variée) est censé être un royaume souterrain qui soit se trouve sous l’Himalaya, soit occupé tout le centre de la Terre. On affirme parfois que Shambhala est sa capitale, une colonie mineure ou même son ennemie cosmique. D’où vient l’Agartha ? Son histoire est particulière et complexe.

Durant le XIXe siècle et le début du XXe siècle, nombre d’écrivains mystiques et ésotériques ont proposé des théories à propos des races anciennes, des royaumes cachés et de la sagesse secrète. Souvent, seule une mince ligne séparait ce qui était tenu pour fait de ce qui était présenté comme fiction.

Les théories de la Terre creuse avaient acquis de la popularité et des romans comme La Race à venir d’Edward Bulwer Lytton et The Smoky God d’Olaf Jansen avaient disséminé les hypothèses d’êtres puissants et de races spirituellement avancées vivant quelque part sous terre. Influencé par eux et supposé élève d’un gourou indien, l’orientaliste français Saint-Yves d’Alveydre, par ailleurs mystique, a publié à compte d’auteur une curieuse collection d’essais, intitulée Mission de l’Inde en Europe, qui a transformé l’histoire de Shambhala en légende.

Prétendant avoir utilisé le voyage astral pour espionner une extraordinaire civilisation souterraine, Saint-Yves décrit le royaume d’Agartha et son souverain mystique, le Brahmatina, le « Souverain pontife ». Le Brahmatina avait conduit ses millions de disciples sous terre en 3200 av. J.-C. Ils avaient bâti là une civilisation avancée, dotée d’une technologie sophistiquée, de pouvoirs psychiques et d’un gouvernement idéal. Cette civilisation allait se faire bientôt connaître au monde d’en dessus et inaugurer ainsi une nouvelle ère.

Le baron von Ungern-Sternberg, seigneur de guerre barbare pendant la guerre civile russe, s’était acquis le surnom de « baron fou » de par sa cruauté et son penchant pour les exécutions de masse. Autour de lui gravitait l’homme de science polonais Ferdynand Ossendowski, explorateur de l'Asie centrale.

L’Agartha figure dans le compte rendu de ses recherches, Bêtes, hommes et dieux (1922). Selon certains récits, le « baron fou » s’intéressait tellement à l’idée de recruter une aide agarthienne pour son combat contre les bolcheviques qu’il avait envoyé deux expéditions à sa recherche, dont la deuxième a disparu sans laisser de traces.

Les nazis au Tibet
Les nazis ont été de ceux qui cherchaient avec le plus d’acharnement l’Agartha. Un corpus légendaire affirme qu’ils s’étaient engagés dans une guerre psychique occulte au même moment où ils avaient déclenché la Deuxième Guerre mondiale. Toutefois, ces légendes sont extrêmement exagérées ou totalement fabriquées (bien que le Parti nazi plongeât effectivement ses racines dans l’occultisme).

https://fr.wikipedia.org/…/Exp%C3%A9dition_allemande_au_Tib…

Les nazis, obsédés par les questions de race et de patrie aryenne, entretenaient toutes sortes de notions délirantes à ce sujet. Himmler avait fondé l’Ahnenerbe, la « société de recherche et d’enseignement sur l’ascendance allemande », qui avait organisé une célèbre expédition au Tibet pendant les années 1937 et 1939. La légende affirme que l’expédition cherchait en fait l’Agartha, pour que Hitler puisse nouer une alliance avec les maîtres cachés du monde souterrain. En réalité, l’expédition devait prendre des mesures anthropométriques, étudier l’idée que le Tibet était la patrie aryenne et forger des liens politiques dans une région stratégiquement importante.

Malgré les démystifications répétées, le mythe nazi de l’Agartha a encore des partisans. Des théories ultérieures incluent la survie de Hitler et sa fuite vers l’Antarctique, ainsi que des ovnis nazis propulsés par du vril décollant depuis des bases de la Terre creuse.

Bibliographie :

Raymond Bernard, La Terre creuse. Paris, Albin Michel, coll. « Les Chemins de l'impossible », 1971.
Dans les coulisses de l'Agartha , L'extraordinaire mission de Ferdinand Anton Ossendowski en Mongolie. Louis de Maistre, 2010.
Civilisations antédiluviennes. Dominique Jongbloed, éd.Pascal Galodé.
Alexandre Saint-Yves d'Alveydre, Mission de l'Inde en Europe, mission de l'Europe en Asie : la question du Mahatma et sa solution, Paris, Dorbon,‎ 1910.

Le mythe des mondes souterrains
Dans la littérature Sumérienne, l’Abzu est le monde souterrain, un endroit où se rejoignent les eaux souterraines. Abzu ou Apsû est aussi traduit par l’Abysse ou l’Abîme du monde, et est souvent assimilé au dieu des abysses. Sa décomposition en Sumérienne est AB-ZU où AB signifie « trou, ouverture et père », et ZU signifie « Connaissance, sagesse et savoir », ce qui donne « le trou de la connaissance (ou du savoir) » ou encore « la sagesse du père ». Dans la mythologie sumérienne, l’Abzu est la demeure du dieu Enki-Ea, et il est considéré comme la divinité de la sagesse et père de l’humanité.

Le royaume de l’Agartha et sa ville Shamballah : Une pure légende ?
Bien sûr, tout ça paraît complètement incroyable et fantaisiste, n’ayons pas peur des mots ; de la science-fiction. Mais il ne faut jamais oublier qu’il existe toujours une part de vérité dans chaque légende, sinon elles ne vivraient pas aussi longtemps dans notre inconscient collectif.
Le monde n’est pas toujours construit comme on le pense !
Alors, sauront-nous un jour si sous nos pieds, il existe un monde dont nous ne soupçonnons pas une seule seconde l’existence ?
Le royaume des mondes souterrains est-il véritablement une pure légende ?

Les galeries de Derinkuyu pouvait abriter jusqu’à 50 000 personnes
Les souterrains de l’île de Malte sont aussi très impressionnants, et on raconte que plusieurs personnes y auraient disparu mystérieusement. Le gouvernement de l’île à condamné plusieurs accès par sécurité, mais les travaux d’exploration s’avèrent absolument gigantesques. Beaucoup affirment que ces galeries plongeraient très loin dans les entrailles de la terre, jusqu’à rejoindre les côtes Siciliennes et même le continent africain.

Galeries souterrains de l’île de Malte
Ces constructions ne sont pas isolées, il en existe d’autres, dont énormément sont encore à découvrir, sans l’ombre d’un doute. Mais cela prouve qu’il est tout à fait envisageable d’imaginer, qu’il existe infiniment plus de structures souterraines que nous ne le pensons.
Mais tout cela n’est rien comparé à ce qu’aurait découvert l’amiral Richard Evelyn BYRD, en 1926 en explorant le Pôle Nord. Grand Chancelier de l’Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l’Académie Fédérale de la Marine et des Sciences, il aurait vécu une aventure tout à fait exceptionnelle, la découverte de l’entrée d’un monde à l’intérieur de la terre. Une véritable aventure à la Jules Verne. La terre serait-elle creuse ?
Rappelons-nous du trou de la connaissance traduit du sumérien AB-ZU (Voir en début de texte) !

l’Abzu, monde des Abysses, où se rejoignent les eaux souterraines
« L’apsû (ou abzu en Sumérien) est le nom du dieu de l’océan souterrain d’eau douce dans la mythologie sumérienne et akkadienne. Selon cette croyance, les lacs, sources, rivières, puits et autres
points d’eau douce découlent tous d’Apsû.
Le dieu Sumérien Enki (Ea en Akkadien) commença à vivre dans les eaux d’Apsû avant même que les êtres humains voient le jour. Sa femme Ninhursag, sa mère Nammu et une variété de créatures subordonnées y résident également. » (Source Wikipédia)
Curieusement, on retrouve ces mêmes fonctions chez Osiris. Il est considéré comme le seigneur de la Douât.
« La Douât est le lieu de séjour de Rê pendant les heures de la nuit. Par analogie, il s’agit du séjour des défunts après leur mort, en attendant qu’ils ressuscitent en même temps que le Soleil. Il s’agit d’un monde d’épreuves, divisé en douze heures. » (Source Wikipédia)

Le voyage nocturne de Rê dans la Douât
Comme l’Abzu, la Douât était le monde d’en bas, elle était le Nil souterrain. C’est pour cela que cet endroit est souvent associé au monde des morts, mais cela n’a certainement rien à voir, le monde d’en bas, des souterrains et des Abysses, avait très probablement une réelle existence. Beaucoup de légendes et croyances racontent qu’il existe un immense réseau de galeries secrètes sous le plateau de Gizeh, qui permettrait d’atteindre le monde d’en bas.
Dans la mythologie Grec, Hadès et Héphaïstos, règnent sur les enfers et le
monde d’en bas. Hadès est gouverneur du Tartare, l’endroit le plus bas du monde souterrain, la prison des Titans.
« Dans la mythologie archaïque, Tartare est une divinité primordiale issue du Chaos. Il personnifie le Tartare, l’endroit le plus bas du monde souterrain : la distance du Tartare jusqu’à la terre était égale à celle qui sépare les cieux de la terre selon les Anciens. Il soutient en outre les fondements des terres et des mers. » (Source Wikipédia)

Le Tartare, l’endroit le plus bas du monde souterrain, le domaine d’Hadès
Dans la mythologie celtique, en Irlande, les Tuatha Dé Dânann sont des dieux, des déesses, des héros, des magiciennes qui maîtrisent le druidisme, le savoir et les Arts. Mais ils finissent par se réfugier dans le monde souterrain du Sidh (L’autre monde), pour échapper aux Milesiens (les premiers humains à avoir débarqué sur l’île).
Beaucoup de mythologies anciennes relatent l’existence d’un monde souterrain, et contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, ces lieux ne sont pas forcément dominés par des êtres maléfiques. Ils possèdent des connaissances secrètes impressionnantes, et sont souvent prêts à aider l’humanité.
Les mondes souterrains regorgent de secrets extraordinaires
Par exemple, dans l’épopée de Gilgamesh (le héros de la mythologie Sumérien), celui-ci raconte qu’il rendit visite à Utnapishtim, dans les entrailles de la terre, pour chercher la connaissance et l’aider à trouver l’immortalité.
(Voir article : La quête de l’immortalité)

Il est intéressant de noter que le père des Rosicruciens (la société secrète des Rose-Croix), Christian Rosenkreutz, était censé avoir découvert la connaissance secrète sous terre.
Mais si ces mondes existent réellement, en dehors des légendes, mythes et contes de fées, il doit bien exister encore quelques traces de constructions souterraines, des entrées qui mènent peut être encore vers les entrailles de la terre.
Il existe un superbe exemple de construction souterraine en Turquie, les restes d’un village (Derinkuyu, anciennement Méligud (Melegüp).

Village souterrain en Turquie (Derinkuyu, anciennement Méligud (Melegüp)
Sa taille est impressionnante, et le nombre de niveau est incroyable. L’ensemble des galeries pouvait abriter jusqu’à 50 000 personnes, mais étaient conçus pour accueillir 10 000 personnes en moyenne pour de longues durées. L’archéologue et historien Omer Demir, qui a travaillé sur ce site, pense que certaines partie daterait de la fin du Paléolithique (9500 à 9000 ans av JC). Ce qui est surprenant, c’est que les plus anciens niveaux font près de 2,10 mètres de haut, alors que les parties récentes sont moins hautes. L’ensemble du réseau n’aurait d’ailleurs pas été complètement découvert.

La quête de l’immortalité
En Égypte, Les Pharaons étaient considérés comme des dieux ou des demi-dieux. Ils étaient préparés toute leur vie, dans le but de franchir les portes de la Douât (monde des morts ou de l’au-delà), puis à être guidés pour ne pas succomber au sort des mortels. Ce défi à la mort se retrouve inévitablement chez les Grecs, mais d’une façon bien plus prononcée. C’est d’ailleurs eux qui ont donné naissance à cette mode de « quête d’immortalité.

Ramsès II – Détail de la façade d’Abou Simbel
En effet, dans la mythologie Grec, les dieux étaient considérés comme immortel. Ils aimaient jouer et côtoyer les humains jusqu’à même s’accoupler avec eux. De leurs unions, naquirent des demi-dieux qui perdirent un peu de leur éternité. Eux-mêmes eurent des enfants de dieux ou d’humains, si bien que la durée de vie de ces êtres hybrides se mesurait par le taux de sang divin, autrement dit, par leur lien de parenté avec les dieux de l’éternité. Tous les demi-dieux, quel que soit leur pourcentage de sang divin, cherchèrent frénétiquement à augmenter leur espérance de vie, afin de se rapprocher le plus possible de leurs illustres ancêtres. Depuis ce moment, et jusqu’à nos jours, l’humanité cherche à copier la quête d’immortalité des demi-dieux.

Les grands Dieux Grecs enfantèrent énormément de demi-dieux
Alexandre le Grand pensait que son vrai père était un Dieu Egyptien ou un Pharaon demi-dieu, et à travers ses conquêtes extraordinaires, il est fort probable qu’il ait cherché toute sa vie les secrets qui le mèneraient à l’immortalité, en Égypte, en Mésopotamie et jusqu’en Inde.

Triomphe d’Alexandre le Grand à Babylone
On retrouve de nombreuses histoires similaires bien avant les Grec, en Egypte et chez les Sumériens. La Bible également
en parle, d’une façon plus discrète. Certains passages (voir des livres entiers) ont été purement et simplement écartés des versions officielles, car ils affaiblissaient l’image de la divinité, et n’étaient plus conforme au Christianisme monothéisme naissant.
Extrait de la Bible, Chapitre 6 de la Genèse (juste avant l’épisode du déluge) :
« … quand les Adam commencèrent à se multiplier
Sur la face de la terre
Et que des filles leur furent nées,
Que les fils des Elohim [divinités]
Virent les filles des hommes,
Qu’elles étaient belles,
Et ils prirent des femmes
D’entre toutes celles qu’ils choisirent.

Il y avait des Nephilims [Anges ou descendant des dieux] sur terre
En ces jours-là, et aussi après,
Lorsque les fils des Elohim
Vinrent vers les filles de l’Adam,
Et elles leur enfantèrent des enfants… »

Tablette de l’épopée de Gilgamesh
L’épopée Sumérienne de Gilgamesh, raconte, sur une tablette cunéiforme, une quête vers l’immortalité. Gilgamesh est le cinquième roi (peut-être légendaire) de la première dynastie d’Uruk (généralement datée de l’époque protodynastique III, vers 2600 avant JC). Traditionnellement, c’est un demi-dieu, de deux tiers humain et d’un tiers divin. La liste royale Sumérienne lui attribue 126 ans de règne. Ce sang sacré qui coule dans ses veines, lui permet d’ailleurs d’entrer dans le domaine des dieux, interdit aux humains.
Il descendit dans les entrailles de la terre et y rencontra un autre demi-dieu Uta-Napishtim, qui lui raconte l’histoire du déluge, comme s’il l’avait vécu en temps que Noé. Dans la Bible, Noé vécu jusqu’à l’âge de 950 ans. Gilgameh lui demande les secrets de l’immortalité. Au moment de partir, Uta-Napishtim lui révèle l’existence d’une plante de jouvence.

Gilgamesh, cinquième roi de la première dynastie d’Uruk (protodynastique III, vers 2600 avant JC).
(Voir article : Sumer, sources des mythes et légendes du monde )
Dans toute l’histoire de l’humanité, on ne compte plus les chercheurs de l’éternelle jeunesse. On parle, entre autre, de fontaine de jouvence, de Mfkzt chez les Pharaons, d’Ormus ou d’élixir des philosophes au moyen âge, et de l’arbre de vie dans la Kabbale et dans la Bible. N’oublions pas également les Alchimistes, qui, sous le couvert de chercher à transformer le plomb en Or, cherchent en fait une transmutation de l’état de mortel vers un état de divinité, et donc d’immortalité. D’où la confusion sur la fonction de la pierre philosophale.

Le phénix, symbole de l’immortalité, en lien avec la pierre philosophale
(Voir article : Pierre Feu Or et Eternité )
Dans la Bible, il est clairement dit que l’immortalité à été finalement refusée à l’homme, se qui sous entend que les dieux ont cette faculté.
Extrait de la Bible, Chapitre 3 de la Genèse, verset 22 :
« L’Éternel Dieu dit: Voici, l’homme est devenu comme l’un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d’avancer sa main, de prendre de l’arbre de vie, d’en manger, et de vivre éternellement. »
La plupart des grands patriarches de la Bible ont une longévité incroyable, ce qui a contribué à développer des thèses de toutes sortes sur une codification ou symbolique cachée autour de leur durée de vie. Voici quelques exemples :
Moïse vécu 120 ans
Aaron (son frère) vécu 123 ans
Abraham vécu 175 ans
Enoch vécu 365 ans
Adam vécu 930 ans
Plus on va dans le passé, et plus les Patriarches ont vécu longtemps. On retrouve également cette constante dans la liste Royale Sumérienne définit par Bérose, dit Bérose le Chaldéen, un prêtre Chaldéen astronome, mais aussi historien du IIIè siècle av. JC, né à Babylone.
Cette liste n’a jamais été remise en cause par les archéologues de notre époque, car les évènements et découvertes de l’histoire concordent. Seul grain de sable, la durée de règne des personnages.

La liste Royale Sumérienne
Extrait du début de la liste Royale Sumérienne :
« Après que la royauté descendit du ciel, elle alla à Eridug. À Eridug, Alulim devint roi pour un règne de 28800 ans. »
Alulim de Eridug / Eridu : 28800 ans (8 sars)
Alalgar de Eridug / Eridu : 36000 ans (10 sars)
En-Men-Lu-Ana de Bad-Tibira : 43200 ans (12 sars)
En-Men-Gal-Ana de Bad-Tibira : 28800 ans (8 sars)
Dumuzid de Bad-Tibira : 36000 ans (10 sars)
En-Sipad-Zid-Ana de Larak / Larag : 28800 ans (8 sars)
En-Men-Dur-Ana de Sippar / Zimbir : 21000 ans (5 sars et 5 ners)
Ubara-Tutu de Shuruppak / Curuppag : 18600 ans (5 sars et 1 ner)
Ziusudra de Shuruppak : 36000 ans
« Après le Déluge la royauté passa à Kish »
Jushur de Kish: 1200 ans
Kullassina-bel de Kish : 960 ans
Nangishlishma de Kish : 670 ans
En-Tarah-Ana de Kish : 420 ans
Babum de Kish : 300 ans
Puannum de Kish : 840 ans
Kalibum de Kish : 960 ans
Kalumum de Kish : 840 ans
Zuqaqip de Kish : 900 ans
Atab de Kish : 600 ans
Mashda de Kish : 840 ans
Arwium de Kish : 720 ans
Etana de Kish, le pasteur, qui est monté au Ciel et a mis de l’ordre dans tous les pays : 1500 ans
Balih de Kish : 400 ans
En-Me-Nuna de Kish : 660 ans
Melem-Kish de Kish : 900 ans
Barsal-Nuna de Kish : 1200 ans
Zamug de Kish : 140 ans
Tizqar de Kish : 305 ans
Ilku de Kish : 900 ans
Iltasadum de Kish : 1200 ans
En-Men-Barage-Si de Kish, qui conquit l’Élam : 900 ans
Agga de Kish : 625 ans
« Ensuite Kish fut défait et la royauté passa à Eanna (Uruk) »
Mesh-ki-ang-gasher de E-ana, fils de Utu, avança loin dans la mer et disparu : 324 ans
Enmerkar, qui fonda Unug : 420 ans
Lugalbanda de Unug, le berger : 1200 ans
Dumuzid de Unug, le pêcheur : 100 ans. Captura a En-Me-Barage-Si de Kish.
Gilgamesh, seigneur de Kulaba: 126 ans. (vers 2650 av J-C.)
Ur-Nungal de Unug: 30 ans
Udul-Kalama de Unug: 15 ans
A-Ba’shum de Unug: 9 ans
En-Nun-Tarah-Ana de Unug: 8 ans
Mesh-He de Unug: 36 ans
Melem-Ana de Unug: 6 ans
Lugal-Kitun de Unug: 36 ans
…Avons-nous vraiment affaire à une forme de symbolique codifiée ?
Tous ces illustres patriarches avaient-ils du sang divin dans leurs veines ?
Y a-t-il eu une dissolution du sang divin au cours des âges ?
Leurs ancêtres étaient-ils véritablement des dieux ?
Remerciements

Commenter cet article